Connaissez-vous ce chiffre ? Le Net Promoter Score est un redoutable indicateur du potentiel de croissance de votre société et de la santé de votre marque.

 

Le Net Promoter® Score (NPS) a été pré­sen­té en 2003 par Fred Reichheld dans un article du Harvard Business Review (1). Ce score résulte d’un test com­por­tant une seule ques­tion à poser à vos pros­pects, clients et par­te­naires : “Quelle est la pro­ba­bi­li­té que vous recom­man­diez notre socié­té à un ami ou à un col­lègue ?

Ce score est donc basé sur la loyau­té à la marque et sur l’i­dée que cette loyau­té est géné­ra­trice de reve­nus futurs.

C’est une hypo­thèse rai­son­nable : Plus vous béné­fi­ciez d’un bouche-à-oreille posi­tif et plus il vous sera facile de vendre vos pro­duits ou ser­vices sur une base allant s’é­lar­gis­sant par viralité.

Une typologie simplifiée des marques

Sur une échelle de résul­tats de 0 à 10, Reichheld a défi­ni 3 types d’en­ga­ge­ments déter­mi­nants pour une marque :

  • Pour un score de 9 à 10 : Vous avez construit une marque forte sur laquelle vos ambi­tions de crois­sance peuvent s’ap­puyer, avec des clients fidèles et prêts à vous recommander.
  • De 7 à 8 : Votre marque est à risque. Vos clients sont pas­sifs, peu enga­gés. Ils sont vul­né­rables aux offres de la concur­rence ou à un nou­vel entrant sur votre marché.
  • De 0 à 6 : Votre marque est en dan­ger. Il s’a­git d’i­den­ti­fier pour­quoi vos clients ne sont pas prêts à vous recom­man­der, quelle expé­rience ou quel res­sen­ti a créé ce blocage.
Une réalité plus subtile

Cependant, depuis 2003, le Net Promoter a fait l’ob­jet de cri­tiques. Reichheld esti­mait en effet qu’il y avait une cor­ré­la­tion entre ce score cen­tré sur la satis­fac­tion client et la crois­sance de l’en­tre­prise. Pas tout à fait faux, mais pas tou­jours vrai.

Prenons l’exemple de la véné­rable ins­ti­tu­tion qu’est la “Revue des deux mondes”. Le titre béné­fi­cie d’une image fabu­leuse, attire des plumes remar­quables et béné­fi­cie d’a­bon­nés fidèles à vie. D’où un NPS de l’ordre de 9. Et pour­tant les reve­nus ne cessent de décli­ner mal­gré la loyau­té et les recom­man­da­tions des abon­nés : cette revue vieillis­sante perd des abon­nés par décès et il n’y a pas de renouvellement.

En revanche, l’in­verse de l’hy­po­thèse de Reichhel est tou­jours vrai. Quand un score est bas, il y a peu de chances que l’en­tre­prise connaisse une crois­sance solide : si vous avez peu de clients prêts à vous recom­man­der, il est urgent de se pen­cher sur l’ex­pé­rience déli­vrée par votre marque.

Votre marque est-elle un levier de croissance ?

Alors, êtes-vous prêts à connaître votre score et prendre le contrôle de votre image de marque ? Contactez-nous pour une éva­lua­tion  de votre marque ou une ana­lyse de marque com­plète : claude@brandsilver.fr /​ 06 31 76 63 82 ou sophie@brandsilver.fr /​ 06 41 98 21 46.

Nous dis­po­sons d’un éven­tail très riche de méthodes d’ana­lyse de marque orien­tées vers l’o­pé­ra­tion­nel et la prise de déci­sion. Selon la matu­ri­té de votre entre­prise et de ses marques, la nature et la taille de votre mar­ché, nous adap­tons notre métho­do­lo­gie à vos enjeux et ambitions.

(1) Harvard Business Review The one num­ber you need to grow” Fred Reichheld